jeudi 24 juillet 2014

Une tasse de thé et un livre #18 >> Nos étoiles contraires de John GREEN

NOS ETOILES CONTRAIRES de John GREEN
(éditions Nathan)

Résumé de l'éditeur :

Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie mais elle se sait condamnée. Dans le groupe de soutien fréquenté par d'autres jeunes malades, elle rencontre Augustus, un garçon en rémission. L'attirance est immédiate mais elle a peur de s'engager dans une relation dont le temps est compté.

Il ne faudrait pas que vous vous arrêtiez à ce résumé parce que, pour moi, il ne rend pas justice à la qualité et à la beauté de ce roman.
Nos étoiles contraires, ce n'est pas seulement l'histoire de deux adolescents malades. Ce n'est pas non plus juste une histoire d'amour.
Nos étoiles contraires, c'est une histoire de vie. Hazel et Augustus ont tout compris : ils profitent de la vie, la rendent unique et inouïe.
Hazel a un regard posé, sage et mature sur sa maladie. Elle sait que même si son traitement expérimental semble lui donner plus de temps à vivre, tout peut s'arrêter subitement.

C'est fou la claque qu'on se prend en lisant ce livre. Finalement, il nous apprend la vie, il nous fait nous rendre compte du bonheur d'être entouré-e et en bonne santé.
Je ne sais pas trouver les mots pour expliquer ce coup de cœur. Les émotions (larmes et surprise notamment) sont tellement fortes que j'en ai été chamboulée durant toute ma lecture (et encore maintenant quand j'y repense). J'ai surtout été admirative de ces personnages, comment ils se battent pour essayer d'avoir une vie normale, pour lutter contre leurs ardeurs, pour consoler leur entourage dans des situations complexes et émotionnellement fortes.



P.S : Un peu de musique ? Sortez les Kleenex parce que, du coup, mettre cette très belle chanson (The fault in our stars interprétée par Troye Sivan) en parallèle du livre, me revoilà encore toute émue. Elle fera donc partie du film (issu de ce roman, donc) qui sort le 20 Août en salles.

dimanche 20 juillet 2014

Une tasse de thé et un livre #17 >> Les princes charmants n'existent pas de Maïa BRAMI

LES PRINCES CHARMANTS N'EXISTENT PAS de Maïa BRAMI
(éditions Nathan)

Résumé de l'éditeur :

Cher voisin,
J'ai trouvé cette lettre qui semble vous appartenir. Je me permets de vous la retourner. Pas trace de votre corps écrasé dans la cour ! Vous avez été bien avisé de jeter seulement la lettre. Après tout, l'amour pourrait frapper de nouveau à votre porte. Rien de pire qu'un chagrin d'amour, ou peut-être si, ne jamais en avoir vécu aucun ? Prompt rétablissement,
Votre voisine du 34, 1er étage,
Nora C.

Une fois, au boulot, j'avais oublié de ramener mon livre pour la pause déjeuner. Du coup, je me suis dit que j'allais en prendre un qui se lit super vite pour le terminer rapidement après L'anneau de Moebius (c'est celui que j'avais, donc, oublié sur ma table de nuit...).
Je ne sais pas ce que j'ai en ce moment avec la litté ado mais j'en lis vraiment beaucoup. Celui-ci est pas mal du tout.
Le résumé n'en dit pas beaucoup donc je vais vous donner un peu plus de détails. Nora est plus fan des stars hollywoodiennes old school que des amourettes de collégienne. Elle préfère la romance à la réalité.
Un jour, elle tombe sur une lettre de rupture reçue par son voisin. Elle la lui retourne et s'en suit une petite correspondance entre les deux protagonistes.
En parallèle, on se plonge un peu dans l'adolescence : le regard sur soi-même, sur les autres, les petits tracas etc.

Je pense que je suis trop vieille pour apprécier pleinement ce livre. Cela dit, je suis convaincue qu'il est parfait pour les jeunes filles de 13 ans environ. L'idée de la correspondance est jolie, les lettres sont bien écrites (ça leur donnera peut-être envie de lâcher cette affreuse "écriture SMS" ?...) mais semblent tout de même trop irréelles. C'était un peu le but de Nora (relever le niveau par rapport à la qualité des échanges actuels) mais tout de même, je pense qu'il faut savoir vivre avec son temps (le vouvoiement, seriously ?).

jeudi 17 juillet 2014

Une tasse de thé et un livre #16 >> L'anneau de Moebius de Franck THILLIEZ

L'ANNEAU DE MOEBIUS de Franck THILLIEZ
(éditions Le Passage pour le grand format puis Pocket pour le poche)

Résumé de l'éditeur :

Pour sa première enquête, Victor Marchal aborde son métier de flic par sa face la plus noire : une ex-star du porno torturée, une mise en scène macabre, et une plongée dans le monde interlope des déviants sexuels et des monstres de la nature.
Depuis toujours, Stéphane Kismet est hanté par des images prémonitoires, mais cette fois elles obéissent à une indéchiffrable et terrifiante logique. Dans ses rêves, Stéphane possède une arme, il est recherché par la police, une petite fille est morte...
Les trajectoires de Victor et Stéphane vont se rejoindre. L'un n'a encore rien vu, l'autre ignore qu'il sait déjà tout...

Comme je l'ai déjà expliqué, je suis dans une période Franck THILLIEZ et du coup je les lis tous dans l'ordre. Il faut que je sois prête pour le 9 Octobre (voire même avant) (les avantages du métier ;-)) pour la sortie du prochain Sharko / Hennebelle :-)
Bref. Je m'égare.
Pour ce livre, nous ne suivrons pas une enquête menée par un de ces deux personnages récurrents. Nous découvrons Vic Marchal, jeune flic débarqué à Paris au milieu de collègues tous plus cons les uns que les autres. Il a une vie privée qui part en lambeaux sauf qu'il doit aussi faire ses preuves au sein de sa nouvelle équipe. Difficile de concilier ces deux aspects.
Stéphane Kismet créé des monstres pour le cinéma. Sauf qu'au bout d'un moment, les gens finissent par penser que c'est lui le monstre. Difficile de faire admettre aux autres que, oui, visiblement, il a des visions du futur.

Ce livre part sur une théorie de visions, d'univers parallèles. A côté de ça, vous avez des meurtres avec des mises en scènes complètement macabres, gores.
Je ne vous cache pas qu'au début, il m'était un peu difficile de rentrer dans l'histoire tant je suis à mille lieux des théories exposées durant le premier tiers. Mais, bon, merde, il s'agit d'un THILLIEZ, ça ne peut être que bon ! J'ai insisté et j'ai bien fait. Les deux protagonistes finissent par se lier d'amitié et ce sont ces passages à deux, ces passages où ils essaient de comprendre le monde qui les entoure qui sont forts et notables.
L'anneau de Moebius a tout de même cette particularité : finalement, on s'en fiche un peu de savoir qui tue. C'est incroyable pour un polar mais c'était secondaire en ce qui me concerne. Le génie de Franck THILLIEZ tient plus en son interprétation de la théorie du ruban / anneau / etc de Möbius (ou Moebius), la façon dont il a construit son intrigue autour de celle-ci. 

Tout cela nous ferait peut-être nous poser des questions finalement... Surtout le final ! Je m'attendais bien à un truc du genre :-)



P.S. : C'est l'heure de la chanson du jour : Smooth Criminal de Michael Jackson.

dimanche 13 juillet 2014

Dublin #3

Dublin #1 : Préparation du voyage
Dublin #2 : Premières visites

Nous revoici à Dublin.
Cet article sera consacré à deux monuments religieux de la ville.
Je suis pas méga fan des églises et cathédrales. Ça ne me touche pas plus que ça. Y en a qui sont belles, c'est sûr mais ce n'est pas vraiment LA chose que je vais voir en priorité lorsque je suis en Mode Touriste.
On m'avait dit qu'à Dublin, ce serait quand même bien d'aller voir la Cathédrale Saint Patrick. Et puis, en fait, juste à côté, il y avait aussi la Christ Church Cathedral. Autant en profiter pour faire les deux. Nous ne sommes pas rentrées à l'intérieur. C'était souvent payant et/ou il y avait un office à ce moment là.

Voilà.
Il faut aller à Dublin pour changer d'avis sur les monuments religieux.
La Saint Patrick's Cathedral est immense et magnifique. Son parc est d'une verdure époustouflante (bon, en même temps, vue la quantité de pluie à l'année, c'est pas compliqué).
La Christ Church Cathedral, on a l'impression qu'elle est posée là et que toute la ville s'est construite autour. Il n'y a quasiment pas de verdure autour. Elle est imposante.

Place à quelques photos...

St Patrick's Cathedral
Patrick Street
St Patrick's Close

Parc de la St Patrick's Cathedral
Patrick Street
St Patrick's Close

St Patrick's Cathedral
Patrick Street
St Patrick's Close

St Patrick's Cathedral
Patrick Street
St Patrick's Close

Maison typique
Entre les St Patrick's Cathedral et Christ Church Cathedral

Christ Church Cathedral
Christchurch Place

Christ Church Cathedral
Christchurch Place
Pour la maison, je ne sais pas trop comment l'expliquer mais je l'ai trouvée très jolie. En plein centre ville, souvent les maisons ne sont pas forcément charmantes. Celle-ci m'a tapé dans l'oeil. Allez savoir pourquoi...

Pour la dernière photo, certes, mon amie n'est pas très grande mais ça vous donne une idée de la taille de la cathédrale.

jeudi 10 juillet 2014

Dublin #2

Pour lire le premier article, c'est par ici.

Le jour J, nous avons pris l'avion tôt.
Un peu plus d'une heure de vol et nous étions arrivées à l'aéroport.
J'avais lu sur mon guide que c'était pratique et économique de prendre le pass bus 3 jours. On pouvait l'utiliser pour la navette Aéroport / Centre Ville et, en fait, dans toute la ville.
Ticket : OK.
Ligne de bus à prendre : OK.
Trouver le bus : no comment... Pfiou ! Voilà, j'appréhendais un peu de parler anglais parce que j'ai vraiment un accent de merde. Mais bon, quand tu cherches désespérément un bus et que tu ne le trouves pas, il faut foncer dans le tas et essayer de se débrouiller. Au bout d'un quart d'heure, on était dans le bon bus.

Nous sommes finalement arrivées sur O'Connell Street, une des artères principales de la ville.
Après, ô joie, il fallait trouver l'auberge de jeunesse (ouais, je suis encore jeune voyez vous...). Ha ha ha, vaaaste blague, franchement... On a mis environ une heure (sous la pluie, of course) à trouver cette foutue Talbot Place. Le WiFi beuguait à fond sur mon téléphone et les gens semblaient ne jamais avoir entendu parler de cette place... A force de tourner et virer, on a fini par poser nos affaires dans notre dortoir. Le gars de l'accueil était très accueillant et taquin (oui, mes prénoms sont merdiques, qu'est-ce que j'y peux ?) (I think your parents had a problem with you) (mais euh, vilain!).

Ensuite, nous sommes allées déjeuner.

Fish and chips, un régal.
Le poisson était frais, la friture succulente. Je recommande à fond. De plus, il y avait moins de monde que je ne l'imaginais (bon, il devait être environ 14h et les Dublinois, comme les Anglais, ont l'air de manger assez tôt).
6 Upper O'Connell Street
Dublin


Puis, c'était l'heure de se promener un peu. D'errer dans les rues de la jolie ville de Dublin.
Sous la pluie, toujours mais bon, nous n'y allions pas pour le beau temps non plus...

Passons un peu aux photos...

General Post Office
O'Connell Street
Vous pouvez y entrer et admirer l'intérieur de ce bâtiment.

The Spire
O'Connell Street
120m de haut, symbole de la modernité de la ville de Dublin.
TRÈS pratique pour se situer dans la ville :-)

Façades
Henry Street
Dublin a plusieurs facettes notamment en architecture.

Horloge
Henry Street
Plus tard, vous aurez un article spécialement dédié aux enseignes. J'adore.

Trinity College
College Green
Vous vous imaginez voir des touristes débarquer à l'université où vous étudiez ? C'est ce qu'il se passe ici.

Trinity College
College Green

Parc du Trinity College
College Green

Trinity College
College Green

Entrée de la Bibliothèque universitaire
Trinity College

College Green

Trinity College
College Green

Dublin Castle
Dame Street

Dublin Castle
Dame Street

Dublin Castle
Dame Street
Eh oui, ces bâtiments colorés font partie du château de Dublin ! Le contraste est assez saisissant !

Dublin Castle
Dame Street

The Chester Beatty Library
Dublin Castle
Dame Street

Echec pour ce jour-là. Nous avons dû y retourner le lendemain puisque elle ferme à 17h...



La suite prochainement... :-)